Observation
Veuillez m'excuser pour les fautes d'orthographe... Et bonne lecture :P
Chapitre 1 : Le nouveau
Un homme près de la trentaine travail à son bureau. Les mains sur le clavier entrain de pianoter des chiffres. Malgré les cernes sous ses yeux, nous pouvons remarquer qu'il est très élégant. Brun aux yeux émeraude, une barbe de trois jours, une peau découverte sous une chemise blanche, les doigts qui s’agitent de façon mécaniques, et de longue jambe croisés sous son bureau. Voilà comment décrire cet homme. En faite, cet homme c'est Mickael. Grand de plus d'un mètre quatre-vingt-cinq. 27 ans, célibataire depuis plus de... bah depuis toujours si on ne compte pas les coups d'un soir. Vous le connaissez ? Oui, Nan, Peut-être. De toute façon, ça cours les rue les hommes comme lui. Ce qui est sur, c'est qu'il est dans la vie active et comme toute personne qui est dans ce cas, il est débordé, donc facilement irritable. Bref, la ou je veux en venir depuis tout à l'heure, c'est qu'il est entrain de vivre un moment de sa vie qui va tout bouleverser dans pas moins d'une semaines, à cause de ça :
- J'ai terminé Paul. Maintenant, tu vas pouvoir prendre ta retraite en toute sérénité.
- Merci Mickael. Ça fait plaisir d'avoir une main amicale dans ce genre de circonstance. N'empêche que "sérénité", ça fait trop ha ha ha. Je me sens tout vieux maintenant ha ha.
- C'est rien Paul le vieux ha ha, tout ça, c'est toi qui ma appris et c'est juste le retour.
- Ça va me manquer de ne plus pouvoir travailler... A partir de maintenant, je suis condamné à faire du jardinage ha ha.
- Je viendrais te voir juste pour çà ha ha ha.
- Aller à plus le ptit. Porte toit bien. Fait des bêtises, compris ?
- Oui! Compris Monsieur Paul! A vos ordres chef!
Et c'est dans cette atmosphère que Paul le vieux quitta l'entreprise dans lequel il travaillait depuis plus de 15 ans.
Mickeal était triste. Paul était pour lui... Bah Paul le vieux quoi ou le vieux dinosaure. « C'était lui qui... Nan pas ça... Ah oui, c'était lui qui... Nan, ça c'était Bernard. Alors c'était lui qui... Nan, je doute que Paul se soir tapé le Big Boss Monsieur Mignon. Non, çà doit être quelqu’un d’autre, mais qui ? », qu’il pensait.
En faite Paul le vieux ne faisait que travailler tête baissée du matin jusqu'au soir. Les seuls fois ou on le voyait loin de son bureau, c'était pour aller au toilette ou pour manger, et encore, il apportait son casse croûte dans un tuperwaise... Alalah. On ne pouvait pas dire grand chose sur Paul finalement.
Mickael retourna à son bureau pour reprendre ses tâches laissées en plan pour aider... qui déjà ? Il était entrain d'aider qui y'a pas 5 minutes ? Bref, ce n'est pas le plus important. Le plus important, c'est qu'il était très mais alors très en retard. Il fallait mettre tout ça en ordre. Encore une chose sur Mickael, c'est qu'il est très ordonné. Il classe par ordre d'importance les documents qu'il place dans différente bannette. Ensuite, il s'occupe directement des documents urgents. Quelques manœuvre sur ordinateur puis direction les classeurs. Voilà ce qu'il effectue comme taches tout les jours, et aujourd'hui ni fait pas exception.
Trente minutes plus tard, alors qu'il est toujours attelé à la même tache, le Big Boss, Monsieur Mignon arrive.
- Votre nouveau collègue sera là dans une semaine.
- Mais il ne devait pas arriver aujourd'hui ? (Regard sa montre) D'ailleurs, il est en retard...
- Cette personne c'est présenté aujourd'hui pile à l'heure mais elle était... comment dire... dérangé, alors nous l'avons renvoyé.
- Et pourquoi donc ?
- Il s'est jeté sur moi en me faisant une déclaration d'amour, dit-il rougissant. Et qu'est-ce qu'il était moche...
- ...
- Vous l'auriez compris, le recrutement est en cours et d'ici une semaine vous devez vous occuper de la comptabilité client et fournisseur.
- ...
Trop choqué pour parler, Mickael se dit que finalement il avait bien fait de ne pas se déclarer à son supérieur. Sinon il aurait était au chômage. "Il faut que j'oubli cet amour", se dit-il. "De toute façon, je ne suis pas gay. Je suis bi. Alors il me reste toujours Charlotte."
Trop heureux d'avoir gardé cette petite à l'œil, il ne vit pas qu'une jeune femme était entrain le l'observer avec dégoût. Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce qu'il avait les yeux qui regardaient le plafond avec une expression perverse, les mains qui se frotte l'une contre l'autre et de la bave dégoulinant de la commissure de ses lèvres.
Charlotte n'en puis plus, elle laissa échapper tout le dégoût qu'elle ressentait avec ce tout petit : Aaahhh! Beurk! et s'en alla en courant, battant des bras, comme pour faire signe aux autres qu'il y avait un monstre, qu'il fallait s'enfuir sur le champs.
Mickael revint à lui, mais il était trop tard, l'oiseau s'était envolé loin de lui à jamais. Il se traita d'imbécile tout haut :
- Imbécile! Tu n’es qu'un imbécile qui ne sert à rien! On se demande comment tu à fait pour entrer dans cette boite!?
- Mais... Ce n’était pas la peine de me sortir tout ça d'un coup... snif snif... Je le savais déjà... snif.
Il s'enfuit lui aussi de la même manière que Charlotte. Du coup les gens allaient penser qu'il y avait vraiment un monstre dans ce bureau.
- C'est qui lui ? se demanda Mickael.
Cette journée ce termina comme d'habitude. Avec des cris hystérique, des gloussements, des parties de jambes en l'air dans le bureau pour certain et pour notre chère Mickael, une pile de travail qui allait s'empiler pendant 5 jours.
Avez vous compris ce qui aller d'ici une semaine, changer la vie de notre chère Mickael ? Oui, c'est bien çà. Un nouveau.
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"Je vaincrai!!", ne pu s'empêcher de hurler Mickael. En effet, aujourd'hui était le vendredi salvateur. "Le lundi, j'aurais mon nouveau collègue." Cria-t-il à la suite. Comme un enfant à la veille de noël, Mickael avait les yeux qui brillait d'anticipation. Il avait aussi mal à la tête à force de penser. Il ne dirait pas non à quelques semaines de vacances. Lui qui n'aime pas prendre de congé, dans ce contexte, çà sera vraiment bienvenue.
Les cheveux en bataille, les cernes sous ses yeux encore plus visibles, sa barbe de trois jours qui s'était transformé en forêt et son air débrailler. Tel était son état actuel. En gros on aurait dit un porc. Si vous pouviez être à coté de lui et le sentir, vous comprendrait que "porc", était bien son synonyme.
Quelqu'un entra dans son bureau, qui sans abuser, donnait la nausée. Cette personne, entra, parla et ne sentit pas cette odeur nauséabonde. Peut-être que se matin en se levant, n'avait-il pas nettoyé son nez et qui par conséquent ne prenait pas les odeurs ou pire encore, qu'il était bouché ? S'il avait pu la sentir, il aurait pu se douter que ceci aller être sa fin. Il aurait aussi pu se douter qu'un homme débraillé pouvait mordre. Oui, il aurait pu, mais nan. Alors il signa son arrêt de mort.
- Bonjour, je m'appel Untel je viens d'être muté à l'étage du dessus...
- ...
- Mon collègue qui s’occupe de la comptabilité n'est pas là, et comme vous êtes aussi comptable...
- ...
- Je me demandais si vous pouviez m'expliquer comment faire la manipulation sur le logiciel comptable afin de transformer un devis en facture ?
Mickael leva sa tête d'une façon mécanique vers celui qui voulait mourir jeune. Le pauvre petit nouveau cru voir des yeux rouge le fixé, cependant il n’eu pas le temps d'hurler que Mickael le fis à sa place.
- Nan mais tu te fou de moi le nouveau ?!
Et le nouveau continua son blabla mais cette fois-ci, contient du danger. Alors il voulait amadouer l'animal et s'enfuir.
- Je suis désolé de vous avoir dérangé Monsieur... euh...
Il regarda la plaque en métal sur le bureau du Monsieur aux yeux rouge et lu son prénom.
- Monsieur Michel, vraiment désolé... Oups...
Grossière erreur. Décidemment il voulait mourir celui là. Mickael se leva d'un bon, couru jusqu'à la porte, la ferma à clé, clé qu'il déposa dans sa poche et se retourna vers le nouveau apeuré.
Dans le couloir de l'étage 10, tous pur entendre les cris d'agonie d'un certain nouveau de l'étage du dessus. Nan, c’était une blague, personne ne peut l’entendre. C’est insonorisé. On se demande pourquoi…
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La porte s’ouvrit enfin à 22h46. Deux hommes en sortir. L'un complètement zen et l'autre horrifié à vie.
- Voilà comment je travail depuis 5 jours le nouveau.
Le nouveau en question ne pu faire qu'un signe, "non de la tête" et il tomba dans les pommes.
Une idée de génie traversa la tête de notre chère Mickael qui était d'emmener le nouveau chez lui pour le faire horrifier plus en profondeur.
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Mickael marche les mains dans les poches, dans le long couloir qui mène à son bureau, tout heureux. "Aujourd'hui c'est lundi, lundi c'est liberty" qu'il chanta.
Au bout du couloir, il vit Marie et Stéphanie, les deux commères ou plutôt les journaux sur patte et il se mit à les écouter.
- Ta entendu ?
- Nan quoi ?
- Il parait que le nouveau de l'étage du dessus est devenu parano.
- Quoi ?!
- Il parait qu'il n'arrête pas de dire : "Je suis sur qu'il m'attend à l'étage du dessous" ou "Non je ne veux pas qu'il m'emmène chez lui"
- Le pauvre... Mais de qui il parle ? L'étage du dessous c'est ici, alors il à peur de quelqu'un de chez nous ?
- J'en sais rien, tout ce que je sais, c'est qu'il boss mieux maintenant, alors leur chef à décidé de payer ses frais de psychologue.
- Wouah... qu'elle histoire, et dire que ça se passe au dessus de nous...
- On fait comme d'hab'. Tu raconte çà au service administratif et moi au bureau d'étude.
- Ok, on se retrouve à la cantine.
"Voilà comment elles font pour être toujours les meilleur en termes de téléphone arabe...", ne pu s'empêcher de penser Mickael.
Il s'installe à son bureau plus élégant que jamais. Les cheveux coiffés en pique au dessus de sa tête, sûrement aidé grâce à du gèle. La peau plus nette que jamais. Disparu la barbe d'une semaine. Bonjour la douceur. Au revoir odeur horrible, salut fleur de lys. En un mot, "magnifique", qu'il se trouvait. Il avait sortit le grand jeu, son ensemble qui lui avait coûté la peau du cul.
Il regarda l'heure, "plus que quelques minutes", se dit-il. Puis il recommença à chantonner : "quelques minutes et c'est- flûte !"
- Je vois que vous avez bonne mine aujourd'hui.
- Oui monsieur Mignon.
- Dans ce cas la, laissez-moi vous présenter Monsieur Gabriel. C'est lui qui remplacera... euh... le vieux dinosaure.
Mickael se leva pour recevoir "Gabriel" et resta sur le cu- le siège. Il commença à l’observer. Le dénommé Gabriel était splendide. Il avait à peu près la même taille que monsieur Mignon, c'est-à-dire un mètre soixante-douze. Il le savait pour avoir fouillé dans les affaires de Monsieur Mignon. A l'époque où il était fou amoureux et transit platonique. Bref, revenons à la description de Gabriel. Les cheveux châtain clair qui cachaient sa nuque. Des yeux d'une couleur tellement rare, jaune. Un visage bronzé et toute ronde, comme s'il n'avait pas encore perdu les rondeurs de son enfance. Et pour finir, un corps tout fin qu'il devinait derrière ce costard. En un mot "baisable", qu'il pensait.
Sur le coup, il pouvait embrasser Monsieur Mignon d'avoir recruté une telle beauté, mais la raison étant plus forte, il du patienter, car un jour ou l'autre lui aussi pourrait goûter aux lèvres de Monsieur Mignon. Mais pas tout de suite, lorsqu'il sera muté dans une autre branche de la société. Il ne voulait pas se retrouver au chômage.
- Bonjour, Je m'appel Gabriel.
"Qu'elle voie tentatrice", qu'il pensait.
- Enchanté, moi c'est Mickael.
Après un langoureux échange de poigné de main, Monsieur Mignon prit congé en n'oubliant pas de rappeler à Mickael qu'il devait d'abord former Gabriel.
Mickael se retourna vers Gabriel et commença son plan drague daté.
- ça ne te dérange pas si je t'appel Gabi ?
Le visage du dit Gabi matérialisa un sourire d'ange. Il était content, oh oui qu'il était content notre chère Mickael. "C'est dans la poche", qu'il pensait.
- Tu rêve la mon coco, qu'il avait dit tout en gardant son sourire d'ange.
"Euh... il se passait quoi là ?", qu'il pensait. "Ça va être plus dure que prévue..." Il se reprit instantanément en se souvenant : "il m’a appelé MON coco, c'est déjà ça." Mais il ne pu s'empêcher de sortir :
- Pardon ?
- Nan mais tes con ou tu le fait exprès ?
- ...
- ça veut dire : même pas dans tes rêves. Pigé ?
- Euh... Pigé Monsieur Gabriel.
Prit d'une admiration soudaine, cette pensé traversa l'esprit de Mickael : "qu'elle sens inné de l'autorité", mais vite balayé par ça :
- Viens, je vais te former.
Il va tomber pour mon sens des responsabilités, qu'il pensait.
- Nan mais là tu rêve complètement ok ? J'ai pas que ça à foutre. Aller va bosser où sont les taches que je dois effectuer ?
- Ici, dit-il naïvement.
- Tiens prend les aussi que je puisse glander tranquille.
Quoi ?! Non mais là c'est pas possible. Faut que je fasse quelque chose, qu'il pensait.
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FIN : Chapitre 1
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Prochain chapitre :
Chapitre 2 : Il me faut l'amadouer
Extrait :
Gabriel pansa : "faisons ça bien"
Mickael avait de l'espoir, ça se lisait dans ses yeux. Quel naïf, s'il aurait su ce qui l'attendait,
il aurais apporté de l'eau bénite pour asperger le visage de Gabriel, mais non, il ne le savait pas.